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Résultat :

1 2

(mi-temps 0-0)

But pour l’USL : Thomas Champion (90è+3) / Buts pour Chalonnes : (60è), (90è+2).

Exclusion à Chalonnes : (44è).

UNE INEFFICACITE QUI COÛTE TRES CHER !

Par Jérôme Charrieau. Les Bleus ont été punis et voient la Coupe de France se terminer. Certes on a retrouvé aujourd’hui des beaux mouvements, des bons décalages mais ça pêche encore et toujours dans le dernier geste. Le début de saison ne se goupille pas comme on le souhaite mais il faut travailler pour forcer la réussite, le groupe ne peut pas avoir perdu ses qualités qui l’ont emmené si haut… Le renouveau passe uniquement par un esprit de corps et le travail !

Rien que la première période, les hommes du capitaine François Girard auraient dû s’assurer un bel avantage mais entre la frappe de Maxime Ollivier repoussée sur la ligne, un retour in extremis de défenseur après un crochet de Romain Piette, une tête juste au dessus de Guillaume Lucas ou autres situations dangereuses, les Bleus ont pâti d’une inefficacité récurrente qui fait regagner les vestiaires sur un score nul et vierge.

Et puis, lors du second acte, et pourtant en supériorité numérique suite à l’exclusion juste avant la pause d’un défenseur de Chalonnes (44è), l’escouade lucéeenne a dû se dire que c’était fait d’autant plus qu’elle n’était pas inquiétée par les joueurs du Maine et Loire. Oui mais voilà, la réussite était toujours en berne, mêlée également à la maladresse avec plusieurs têtes à bout portant pourtant non cadrées et les joueurs du 49 ont joué intelligemment le coup en procédant par contres et crucifiant par 2 fois le pauvre Clément Brouillac abandonné par sa défense (0-1 60è) et (0-2 90è+2). Même le joli geste technique de Thomas Champion et sa demie volée de l’extérieur du droit sous la barre n’y changera rien puisque anecdotique (1-2 90è+3).

Fin de parcours et dorénavant travail devant le but, ne pas lâcher, garder cet esprit de groupe et on veut des guerriers sur le terrain, faire le dos rond en attendant des jours meilleurs ! Sans perdre trop de temps parce que le groupe a besoin de confiance et se rassurer serait opportun.

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